Val-d’Oise, septembre 2025 : Et si vous pouviez investir dans l’immobilier locatif en Île-de-France… avec trois fois moins de budget ? C’est la promesse de l’habitat modulaire à base de containers maritimes recyclés. Une solution innovante qui attire une vague de nouveaux investisseurs, séduits par des rendements boostés et un ticket d’entrée enfin accessible.
Dans le marché classique, il faut compter 150 000 € pour un T2 en périphérie francilienne, avec un rendement brut plafonné à 5 %.
Avec le modulaire, l’équation change :
Concrètement, un même revenu locatif peut être généré avec un tiers du capital initial.
Ces projets ne sont plus des prototypes. Ils se multiplient dans le Val-d’Oise, où le foncier reste plus accessible qu’ailleurs en Île-de-France.
L’atout ne se limite pas au prix. L’habitat modulaire coche toutes les cases de l’immobilier d’avenir :
Pas question de se lancer sans préparation. Pour réussir, l’investisseur doit :
Bien cadré, le projet devient un véritable actif patrimonial.
Selon la FNAIM, les demandes liées à l’habitat modulaire ont bondi de 30 % en 2025. Le profil type ? Des investisseurs de 30 à 45 ans, disposant de budgets entre 50 000 et 150 000 €, souvent exclus du marché traditionnel.
Le Val-d’Oise pourrait bien devenir le terrain de jeu privilégié de cette nouvelle génération d’investisseurs. Accessible, rentable, durable : le container est en train de s’imposer comme la passerelle entre primo-investissement et indépendance financière.
À l’UNPI 95, nous suivons de près cette tendance émergente qui pourrait transformer le paysage immobilier local. Pour les propriétaires et investisseurs du département, l’habitat modulaire représente autant une opportunité financière qu’un enjeu stratégique pour l’avenir du parc locatif.
Maître Thomas CARBONNIER – Avocat fiscaliste, Président de l’UNPI 95 Sarcelles