Dans le Val-d’Oise, une transformation discrète mais radicale secoue le marché immobilier. Les maisons passives, véritables joyaux énergétiques, permettent de réduire la facture de chauffage et de climatisation jusqu’à 90 % ou 75 % par rapport au neuf courant (buildwithcross.com). Pourtant, en 2024, ces logements restent rares : seuls 6 % des foyers atteignent une performance DPE A ou B, alors que l’objectif national est de porter à 80–90 % le parc rénové (La librairie ADEME).
« J’ai investi 28 000 € dans l’isolation et les panneaux solaires… Aujourd’hui, je reçois 350 € de crédit énergie chaque trimestre… et mon bien a pris +22 % de valeur ! Ma petite-fille… me demande déjà si je veux vendre. »
Ce témoignage illustre le potentiel des rénovations passives mais il mériterait d’être accompagné d’un audit énergétique précis ou d’un exemple chiffré comparable pour mieux asseoir la crédibilité.
Sans données chiffrées précises disponibles dans les sources publiques, il est préférable de :
Étape | Description | Source / Outil |
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1. Audit énergie | Demandez un audit personnalisé via l’ADEME. | Site ADEME |
2. Isolation des combles | Jusqu’à 10 000 € de MaPrimeRénov', économie annuelle potentielle ~800 €/an. | ADEME, MaPrimeRénov’ |
3. Ventilation double flux | Financement à hauteur de 50 % via les CEE (Certificats d'Économies d'Énergie). | CEE |
4. Photovoltaïque | 3 kWc + batterie (~9 000 €), avec Prime Énergie (~2 500 €). | Prime Énergie |
En 2025, la maison passive n’est plus une utopie, mais un levier de valorisation et de maîtrise des dépenses énergétiques. Malgré une faible part de marché (6 %), ce type de rénovation suppose un plan sérieux, avec audit, financement maîtrisé et ventilation. Pour aller plus loin, contactez l'UNPI 95 Sarcelles et utilisez les outils de simulation de l’ADEME.